Sardines, maquereaux… Les poissons gras sont simples à préparer et rapides à manger ; pourtant, on n’en mange vraiment pas assez ! Une erreur au vu des innombrables bienfaits qu’ils apportent.
Un poisson riche en oméga-3, le bon gras
Bien que les études concernant les oméga-3 restent majoritairement des hypothèses, il semblerait que ces bons acides gras auraient un effet préventif sur certaines pathologies en rapport avec le cerveau (psychologique, neuronal/Alzheimer), la vision (DMLA), voire bénéfique pour le système immunitaire ou encore les rhumatismes.
Et pour encore plus de bon gras, vous pouvez associer poisson et huiles végétales (lin, chanvre, noix), elles aussi riches en oméga-3.
Du poisson gras pour faire le plein de vitamines
On manque constamment de vitamines : le fait de consommer du poisson plusieurs fois par semaine peut participer à y remédier. En effet, si le poisson est la principale source de vitamine D (en dehors de votre chère ampoule hivernale), il contient aussi les vitamines A (pour la vue), B (fonctionnement de l’organisme) et E (anti-oxydant).
Lancez votre nouveau cocktail super vitaminé à base de sardines à l’huile d’olive accompagnées de carottes !
Un excellent apport en protéines
Contrairement aux idées reçues, le poisson contient autant de protéines que la viande (environ 20%).
La différence réside surtout dans le fait que le poisson en lui-même est moins calorique. Le parfait allié du régime sans se priver ! Attention cependant à ne pas manquer de fer si vous supprimez complètement la viande : on peut compenser avec des féculents complets ou des légumes verts.
Une multitude de minéraux
Pour couronner cette liste, il faut savoir que les poissons gras contiennent également beaucoup de minéraux essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Parmi ceux que l’on trouve le plus souvent : l’iode, le zinc, le sélénium, le fer, etc.
Réussir à varier la consommation de poisson gras
Pour éviter de se lasser du poisson gras, mieux vaut avoir quelques recettes sous le coude. Et heureusement, le poisson gras est tellement flexible qu’il peut être préparé de 1001 façons dans :
- un cake au yaourt ;
- des lasagnes ;
- des tartes ou des quiches ;
- des verrines ;
- des terrines, etc.
Variez également les moments de la journée où vous prenez du poisson ! Une fois le midi, une fois le soir et une fois en apéro !
Manger du poisson au moins deux fois par semaine est considéré comme un minimum, faites-vous plaisir !
Après tous ces points, impossible de ne pas succomber aux boîtes de thon et aux conserves de maquereaux !